Aujourd’hui, l’obligation vaccinale est passée en première lecture à l’Assemblée nationale. La ségrégation est désormais actée par les députés français. La balle est désormais dans le camp du Sénat. Mais le mal est fait. La déraison qui règne depuis près de 2 ans nous a conduits à l’instauration d’une politique liberticide, axée sur des mesures insensées et un contrôle des populations sans précédent dans l’Histoire, en dehors des situations de conflits militaires. Le peuple doit subir un présent et un avenir incertains : les principaux cadres de lois régissant la société sont désormais remplacés par d’arbitraires décrets, les acquis sociaux s’effondrent, l’égalité entre les citoyens est substituée par l’instauration d’une ségrégation intolérable. Chacune et chacun d’entre-nous est en proie aux fluctuations d’intérêts politico-économiques.
Les députés du Morbihan se sont exprimés majoritairement pour l’obligation vaccinale détournée (le passe vaccinal), bien qu’ils n’étaient pas majoritairement présents lors du vote. En 22 mois, en dehors de M. Molac, aucun d’entre-eux n’a été capable d’entamer la moindre réflexion sur la politique « sanitaire et vaccinale ». Ils en sont encore à baser leurs propos sur une épidémie de PCR et de penser que ces vaccins protègent des contaminations. Ces députés n’hésitent pas à promouvoir la vaccination obligatoire à travers l’ultime argument, contradictoire, consistant à espérer en la protection contre les formes graves du virus. Il s’agit de l’aveu d’un choix politique généralisé (la vaccination contre le Covid) qui ne concernerait donc qu’une infime partie de la population. En attendant, les effets secondaires des vaccins contre le Covid sont en constante augmentation et sont loin d’être tous déclarés. Les effets secondaires graves constituent le quart de ces déclarations.
Ces députés ne peuvent ignorer qu’en 2020 et 2021, les chiffres ne donnent pas de saturation des services hospitaliers par les patients Covid mais 2 % des hospitalisations totales étiquetées Covid (soins conventionnels, continus, intensifs et réa.).
Parmi les 15 % de patients identifiés Covid en soins critiques à la fin de l’année 2021, la part des vaccinés est de 6 % ; celle des non-vaccinés est similaire, soit 6 % des 20 000 lits ; il reste 3 % de lits occupés par la part des patients hospitalisés initialement Covid mais déclassés comme Covid, d’après l’ATIH (les 2/5ème).
L’entretien de la crise par la peur, la déshumanisation et l’irrationnel a fait bien plus de victimes que le Covid-19 (0,008 % de la population/mois) et n’a pas protégé la population à risque.
Les députés constituent l’Assemblée nationale. Il s’agit de l’organe législatif de décision d’un gouvernement où se réunissent les députés élus pour proposer et débattre de projets de loi, puis pour voter et les faire appliquer.
Tragiquement, son déficit de bon sens se reflète à tous les niveaux : social, économique, culturel, écologique, éducatif… Alors que le peuple est plongé dans la pression administrative quotidienne, ses contraintes technologiques et son centralisme pilleur des richesses humaines et financières, il doit aussi se plier à l’arbitraire d’une classe politique incompétente. Il est temps pour nous, le peuple, de reprendre les rênes, nous n’allons pas nous épuiser plus longtemps en manifestations interminables et en associations palliatives des carences décisionnelles.
Dans notre circonscription (Muzillac, La Roche-Bernard, Sarzeau, Vannes-Centre, Vannes-Est, Vannes-Ouest), les services publics sont à reconstruire, l’accès aux soins pour tous à rétablir, la spéculation immobilière doit être bloquée définitivement, la préservation des espaces naturels à prioriser ; nos forces vives doivent pouvoir vivre, travailler et décider au pays.
Ainsi, puisqu’il faut un volontaire, que j’aime penser et œuvrer pour la société, je suis candidat aux Législatives dans la première circonscription du Morbihan.
J’invite par ailleurs tous les défenseurs des Libertés à porter la voix du peuple libre dans toutes les circonscriptions et à présenter un candidat. Donnons le coup de balai nécessaire, donnons-nous les moyens pour le faire !
Ra vimp digabestr !
Bertrand Deléon.