- La protection des travailleurs dans leurs conditions de travail, la diversité des tâches nécessaires au quotidien et le respect de leurs qualifications.
- L’instauration obligatoire de salaires décents ; l’augmentation du SMIC, des retraites et des minimas sociaux.
- Le bon sens : il est nécessaire de ne plus gérer les crises dans la panique. On ne bloque pas toute une société pour une épidémie dont 99,998 % de la population sont épargnés par mois. En revanche, il est de notre devoir de concentrer tous nos efforts pour protéger et soigner les personnes vulnérables qui représentent la majorité des décès, en respectant leurs souhaits.
- Un point final aux mesures contraintes par des chantages répétés et coûteux : le chantage à la perte d’emploi, d’accès aux soins, à des lieux publics ; le piétinement des cadres de lois (Code du Travail, Code de la Santé, Code de l’Education, la violation du secret médical…) ; les injections ARN, n’empêchant pas le contagion et dont les effets secondaires se multiplient ; le livret de santé électronique ; le compteur Linky, qui n’a pas fait baisser les factures ; le développement contraint de la 5G, presque 4 fois plus énergivore que la 4G.
- Un terme mis aux mesures tyranniques (la répression routière mal ciblée quand les véritables conduites dangereuses ne sont pas sanctionnées ; les taxes asphyxiant le bon fonctionnement de l’économie…).
- La reconstruction d’une administration humaine. Ne plus contraindre au tout informatique. L’allégement considérable de l’ensemble des contraintes pesant au quotidien.
Le respect de la dignité humaine.m4a