La question est récurrente sur les réseaux sociaux, elle est adressée à la partie de la population qui n’a pas cédé à la pression colossale par chantages divers des autorités politiques, étatiques, préfectorales et médiatiques.
Tout d’abord, dès mars 2020, je lançais l’un des tout premiers groupes sur un réseau social dans le but de réinformer sur la réalité des données en regard des scènes apocalyptiques dépeintes par les médias. Je me suis opposé au port du masque ; aux confinements ; aux décisions d’interdire certains lieux publics, des déplacements, des regroupements ; d’instaurer des jauges ; d’imposer des horaires de sortie unique quotidienne ; de considérer arbitrairement des commerces comme non-essentiels ; d’instaurer, sans que le moindre syndicat ne s’en émeuve, la casse du Code du Travail, du Code de l’Education ; de planifier des chantages à la perte d’emploi en cas de refus d’injection ; d’aboutir à la suspension odieuse des personnes ayant le plus d’éthique de leur métier, etc.
Bref, je me suis opposé à une forme de dictature que le plus grand nombre a acceptée.
Plus encore, le règne de l’absurde l’a emporté.
Dès le début de l’épidémie, il suffisait de regarder les chiffres bruts pour constater que le premier pic de contaminations, le plus fort, ne touchait réellement qu’une petite minorité de la population. Enfermer toute la population et la museler n’étaient qu’aberration quand il ne s’agissait que d’une affaire de jours, voire d’heures, pour que chacun soit, de toute façon, contaminé à son tour, sans grandes conséquences pour sa santé ni celle des autres. Les tests ont montré cette bonne nouvelle, retournée comme mauvaise par les pouvoirs publics et les médias serviles : la contamination est rapide, l’immunité naturelle l’est tout autant et est solide. Les milliers de testés positifs n’étaient pas ou peu malades et chaque individu testé pouvait attraper le Covid dès sa sortie du centre de dépistage. Ces tests se sont avérés inutiles ; ils ont coûté des milliards d’euros, comme le chômage partiel et bien d’autres mesures pour pallier ces dérives autoritaristes.
Comme beaucoup de personnes, j’ai multiplié plus que jamais les contacts humains, entre résistants au délire collectif, sans aucun test ni aucune injection. Je n’ai pas été plus malade que les autres années, avant l’existence du Covid, en ayant dû probablement avoir attrapé plusieurs fois le virus et ses variants. Je n’ai pas non plus été plus malade que les injectés, au vu des déclarations de mon entourage qui se faisaient tester en étant malades à la même période.
Rapidement, tout un chacun pouvait également constater que le nombre mensuel de décès était de l’ordre de 0,007 % de la population totale, dont l’écrasante majorité souffrait déjà de comorbidités abominables. Le taux de personnes admises à l’hôpital pour soupçon de Covid ne représentait, au plus fort de l’épidémie, que 2 % des hospitalisations totales. Parmi les hospitalisés de ce petit pourcentage, celui des personnes admises en unités de soins intensifs était donc infime. Certes, c’est toujours trop. Or, ces personnes à risque auraient dû être exclusivement protégées et, surtout, recevoir des traitements administrés ailleurs dans le monde. Car, quoi qu’on en dise, des médications et des soins ont relativement bien fonctionné ailleurs, c’est indiscutable.
Une autre raison qui aurait dû alerter tout un chacun sur ces injections ARN : contrairement aux vaccins traditionnels, les injectés contaminaient leur entourage autant, sinon plus, selon les études. Pourtant, ces dernières ont bénéficié de droits tandis que les autres devaient subir la ségrégation. Quid de l’absurdité de priver de revenus et d’anéantir socialement des êtres humains non-injectés ? Emmanuel Macron y avait répondu : « J’ai envie de faire chier les non-vaccinés », autrement dit, des intérêts tout autre que soigner ont généré la violence du gouvernement et la répression.
En bientôt 3 ans, rien n’a encore prouvé un quelconque lien entre la légère diminution du nombre de malades et ces campagnes d’injections. Un exemple pour les enfants, 99,99976 % des moins de 19 ans n’allaient pas en réanimation à la fin de l’année 2021, alors que plus des ¾ des tests positifs les concernaient… Il y a bien longtemps que ces jeunes ont fait leurs défenses immunitaires à maintes reprises. C’est mathématique ! Dans l’ensemble de la population, il est possible que ces mesures, plus psychiatriques que sanitaires dans les formes qu’elles revêtent, aient seulement légèrement ralenti la progression… Une manière pour le gouvernement de chercher à masquer la réalité de la situation dans les hôpitaux, liée à leur décision de supprimer des personnels, des lits et des moyens.
Aujourd’hui, les effets secondaires indésirables de ces injections expérimentales ne sont pas déclarées pour la plupart d’entre-elles. Pourtant, ils représentent déjà 0,12 % des injections selon l’ANSM, dont le quart d’entre-eux est grave. Beaucoup de gens décèdent précipitamment et l’Insee annonce justement une surmortalité en 2022… Statistiquement, et au contraire des raisons données par les médias les plus suivis, cette augmentation n’établit ni une corrélation avec la canicule (surtout en ce moment, voir les statistiques d’octobre 2022 de l’INSEE), ni un lien avec les décès attribués au Covid…
Donc, oui, je sais que ça titille les égos mais il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis : si tant est que ces injections fonctionnent et soient sans danger, ce qui reste donc à démontrer, la « vaccination contre le Covid » ne concerne pas 99 % de la population. Qu’elle soit élargie à celles et ceux qui ont peur, soit, si cela peut les apaiser, mais le fait de s’y accrocher est d’une insondable stupidité.
Acceptons-le, cette folie collective est d’une part nourrie par la peur de la mort, dans l’Occident contemporain, mais elle est d’autre part attisée par l’opportunisme d’enjeux financiers non-avouables ; le tout étant surjoué par la crainte de représailles juridiques pour les élus et les responsables administratifs. Nous évoluons, hélas, au sein d’une société de plus en plus procédurière, dans laquelle n’endosser aucune responsabilité devient une quête vitale.
Bertrand Deléon.