Selon une étude irlandaise parue début avril, 0,1 % des contaminations peut être attribué à des contacts en plein air. Telle est la conclusion du service de santé irlandais HPSC, qui, selon The Irish Times, a examiné plus de 232 000 cas.
Sur ces 0,1 %, soit 1 cas sur 1000, il ne s’agit par d’individus malades mais des porteurs du virus. Nous inhalons entre 200 000 à 2 millions de virus par minute.
Les données sur le territoire de l’Etat français en 2021 mettent en évidence qu’entre 93 à 94 % des décès attribués au Covid-19 étaient des personnes âgées de plus de 65 ans. 8 personnes décédées sur 10 avaient plus de 75 ans.
A titre d’exemple, là où des statistiques précises ont été renseignées, 88% des gens qui sont morts du Covid-19 au CHU de Marseille avaient une espérance de vie qui était inférieure à un an.
Par ailleurs, il y a eu moins de mortalité en 2020 que les années précédentes pour les moins de 65 ans. La population vieillit, la tranche d’âge des plus de 65 ans est donc également croissante : la mortalité dans cette tranche d’âge serait de toute évidence croissante avec ou sans le Sars-Cov-2. La population globale a quant à elle augmenté de 0,3 % en 2020.
Sur la totalité des décès imputés à ce coronavirus, des comorbidités étaient renseignées pour 27 722 décès, soit 65% des certificats de décès présentant une mention de COVID-19. Une mention de pathologie cardiaque était indiquée pour 35% de ces décès et une mention d'hypertension artérielle pour 22%.
Sur l'ensemble des décès certifiés électroniquement, 2% des personnes décédées ne présentaient pas de comorbidité (ou pas de comorbidité renseignée) et étaient âgées de moins de 65 ans. C’est extrêmement infime quant à d’autres maladies pouvant s’avérer mortelles.
(Sources de tous ces chiffres : INSEE ; données EHPA, ESMS ; Santé publique France.)
Conclusions directes :
Une personne sans comorbidité, contaminée par le Covid-19, fera des anticorps pour plusieurs mois. Le vaccin n’apporte donc rien de plus.
Au vu du taux de mortalité infime des personnes sans autre pathologie, le vaccin n’est donc d’aucune utilité.
Vivre sans masque et non-vacciné ne met pas en danger la quasi-totalité de la population. C’est de la désinformation de l’entendre dans les médias.
La population à risque est vulnérable pour toutes les agressions d’ordre viral ou bactérienne. Ainsi, soyons logiques :
- si tous les moyens avaient été mis en œuvre pour soigner les patients, plutôt que de céder à la panique alimentée par le gouvernement et les médias, avec les traitements connus qui fonctionnent dans plusieurs pays du monde, nous serions à un taux de mortalité d’environ 0,4 % des patients hospitalisés (et non positifs au virus ou malades non-hospitalisés) : ce qui est infime encore une fois (source : hôpitaux traitant les patients).
- si tous les budgets brûlés dans la politique bien plus liberticide sur le long terme que « sanitaire » (160 milliards d’€ en France pour 2020, au bas mot, selon le ministre des Comptes publics, Olivier Dussopt) avaient été consacrés à la protection des personnes réellement vulnérables, il y a très fort à penser que nous n’aurions même pas ressenti quelque changement dans notre quotidien, pour au moins 98 % de la population.
Il aurait été logique de consacrer des services spécifiques à l’attention des personnes susceptibles de présenter une forme grave d'infection au Covid-19 : courses alimentaires livrées à domicile, plages horaires réservés pour elles plutôt que de bloquer toute la société, etc.
Enfin, les médias de grande écoute agitent sans cesse le concept morbide et erroné d’une situation brésilienne ou indienne qui serait « hors de contrôle ». Il est important de souligner que l’Inde c’est 1,4 milliards d’habitants par exemple : la mortalité proportionnellement à la population n’est pas supérieure à celle des pays occidentaux.
Conclusions plus générales :
Ce qui est réel est la crise mondiale due à des décisions délirantes. Compte tenu des projections de l'édition de janvier 2021 du GEP, nous anticipons à présent que le nombre de nouveaux pauvres attribuable à la « pandémie de COVID-19 » en 2020 se situera entre 119 et 124 millions de personnes.
Là est la première cause de mortalité à New Delhi ou à Manaus, le coronavirus ne devient qu’un élément déclencheur officiel des décès et un prétexte qui se meut en mensonge médiatique à la population.
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Ainsi, il faut bien l’avouer : porter un masque, prendre des postures hygiénistes abusives et se faire vacciner par des produits peu testés relèvent, à la lecture de ses chiffres, soit de l’ignorance (et c’est tout à fait compréhensible dans le contexte), soit à d'un déficit de capacités de réflexion.
Il n’y a pas d’utilité de porter un masque, de respecter des postures « barrière » ridicules et de se faire vacciner (pour au moins 98 % de la population, en acceptant le bénéfice du doute pour les 2 % restants).
Alors, vivons normalement et montrons-le, au risque de choquer. Il vaut mieux choquer que d’entrer dans l’esclavagisme moderne total [mise en péril de Libertés fondamentales : celles de circuler, de se réunir, de manifester ; les restrictions sur la Liberté d’expression (interdictions de manifestations festives, artistiques, sportives ; la censure d’opinions et l’information contrôlée…) ; la casse du Code du Travail et celle de nombreux acquis sociaux ; la débâcle de l’instruction scolaire ; les humiliations préfectorales et les décisions arbitraires ; l’encouragement à la délation ; le bâillonnement physique et virtuel… et la faillite de nombreux établissements entraînant une misère, une détresse et une précarité jamais atteintes depuis la Seconde Guerre mondiale. La population est tenue par la peur, la culpabilisation et des perfusions financières symboliques].
Bertrand Deléon.